Manipulation des médias : Profanations de cimetières - Infos insolites à voir et à partager

Manipulation des médias : Profanations de cimetières

La semaine dernière, un cimetière avant-gardiste du Bas-Rhin a été saccagé par un groupe de cinq mineurs écervelés en quête de sensation forte, un fait divers d’une banalité affligeante qui a donné lieu à une nouvelle profanation bien plus indigne cette semaine avec le déplacement sur les lieux de toute la clique sioniste, le président de la République François Hollande en tête, venue souiller une nouvelle fois la mémoire des morts dans leur quête électorale avant-gardiste.

Avec ce déplacement et le battage médiatique autour de ce fait divers, le monde politico-médiatique démontre une nouvelle fois que tous les citoyens français n’ont pas la même valeur.

En effet, selon les chiffres fournis par le ministère de l’Intérieur, en 2014, 206 cimetières chrétiens ont été profanés ; aucun article dans la presse nationale de masse et encore moins de déplacement présidentiel sur les lieux du délit.

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À 9h37 ce matin, la chaîne d’information en continue signalait l’existence en France de « cimetières chrétiens ». À 13 h09, les « cimetières chrétiens » étaient devenus des « cimetières municipaux » ! Probablement pour ne pas trop laisser transparaître le deux poids, deux mesures flagrant quant au traitement médiatiques de ces faits divers.

L’emballement médiatique et politique est systématique lorsqu’il s’agit d’évoquer un malheur qui touche de près ou de loin à la communauté que le Premier ministre Manuel Valls positionne « à l’avant-garde de la République », créant inévitablement un climat de terreur et d’injustice au sein de la communauté nationale :

• Pour l’Avant-garde, cette terreur provoque le sentiment légitime d’être la cible privilégiée d’agressions de toute sorte, alimentant de fait la politique israélienne qui prône la fuite des juifs les moins influents d’Europe pour rejoindre Israël, favorisant la démographie juive et la cohésion théologique dont se nourrit l’entité sioniste.

• Pour l’Arrière-garde, le sentiment d’être délaissé, d’être un citoyen de seconde zone dont les souffrances ne sont pas considérées, dans son unique pays, la France, génère inévitablement des frustrations pouvant parfois mener à un ressentiment, fabriqué et alimenté par nos « élites », qu’ils aiment nommer abusivement de « l’antisémitisme ».